La revue de presse de ce jour s’ouvre par cette nouvelle de lavoixdelituri.net
7 éléments de la garde républicaine arrêtés pour mutilation du corps d’un milicien de CODECO. Ces éléments sont accusés d’avoir violé les règles d’engagement et de comportement à suivre avant, pendant et après les opérations militaires. Leur arrestation est intervenue après publication via les réseaux sociaux, d’une vidéo les montrant entrain d’exhiber la tête coupée du corps d’un rebelle abattu durant les combats.

Pendant ce temps, le programme DDRCS vient d’identifier deux sites destinés à accueillir les combattants des groupes armés favorables au désarmement et à la démobilisation, écrit lesvolcansnews.net
Il s’agit notamment du site de Lodda en territoire de Djugu près de Fataki et celui de Diago en territoire d’Irumu.

Sur le même registre, lecoqdelest.com ajoute que les détenteurs illégaux d’armes et les éléments des groupes armés voulant se rendre sont attendus à bras ouverts.

Pourtant au même moment, les miliciens de CODECO ont signé une nouvelle attaque au village Bugo en chefferie de Makumo dans le territoire de Mahagi, écrit buniaactualite.com
Une personne a été tuée et 4 autres grièvement blessées, 28 maisons incendiées et une somme d’argent estimé à 2.500.000 shilling ougandais emportés.

Avec cette accentuation des violences, faut-il continuer à considérer les miliciens de CODECO comme des « enfants de la maison » ? S’interroge iturikwetu.net
Ce média qui a passé en revue les actes posés par ces rebelles depuis décembre 2017 et ce, malgré plusieurs appels de cessation des hostilités lancés par les autorités politico-administratives et des leaders communautaires en les traitant de «nos enfants».

Ce site d’informations estime que les miliciens de CODECO devraient être classés dans la même catégorie que tous les autres criminels.

Pour terminer, lutte contre la présence des militaires dans les carrés miniers, l’armée annonce la mise en place d’une commission d’enquête pour identifier tous les soldats FARDC souvent cités dans l’exploitation illégale des minerais dans la région de Mungwalu en territoire de Djugu indique bunia-info24.com Cette commission d’enquête est constituée de la justice militaire, de la 32e région militaire, de la police militaire et de la Division provinciale des mines.

C’est tout pour aujourd’hui, prochain rendez-vous.

Marcus Jean Loika

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