Satisfaction, engagement et interpellation sont là les principaux points qui ont marqué la clôture d’un atelier de 3 jours à Bunia axé sur le renforcement des capacités sur les concepts VBG, PSEA et intégration du genre dans l’humanitaire. 

Au chef-lieu de l’Ituri, cette formation s’est illustrée dans la vision de former plusieurs acteurs œuvrant dans le domaine genre et notions connexes en vue d’une lutte commune pour le droit de la femme et la promotion des jeunes filles. Au centre de cette activité, la division Genre, famille et enfants de l’Ituri.

Participants à l’atelier de la Division Genre à Bunia. P© MG

Monsieur Jean-Marc Mazio, l’un des responsables de la Division Genre en Ituri, a exprimé son sentiment de gratitude à l’endroit des participants et au partenaire ONU Femme, avant d’inviter tout le monde à s’impliquer dans les questions du genre.

« Nous avons déjà les acteurs capables qui doivent mener cette lutte, qui doivent venir auprès des nécessiteux pour les accompagner et valoriser leurs droits…Nous devons nous mobiliser pour
Promouvoir l’égalité, le genre et les droits de la femme et de la jeune fille», a-t-il insisté.

Les acteurs œuvrant dans la lutte et la promotion de la femme se sont réunis du 31 mai au 03 juin 2024. Une formation qui est tombée au point nommé, surtout pour les participants.

« Nous tenons à les féliciter (ONU Femme et Division Genre) surtout pour ce renforcement qui nous permis d’avoir une compréhension sur les vbg, genre et intégration dans l’humanitaire…», a dit madame la révérende Buve, parlant aux noms des participants.

Participants à l’atelier de la Division Genre à Bunia

Elle ne s’est pas limitée là : « Nous devons assumer notre responsabilité par rapport à ce défi au niveau humanitaire, mais nous avons dit que ce n’est pas seulement au niveau humanitaire, même dans d’autres bureaux au niveau de la société », a-t-elle fait remarquer.

C’est à titre de réalisation du projet : promouvoir le leadership, l’autonomisation, l’accès et la protection de femmes et filles touchées par les conflits graves, la sécheresse et les déplacements forcés en RDC que cette activité s’est déroulée, sous financement du pays du Japon, à travers l’ONU Femme.

Moïse Mugisa

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