Exécution sommaire par les rebelles du mouvement du 23 mars et l’armée rwandaise des militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), des malades et des blessés de la guerre de Goma, au Nord-Kivu.
Des actes dénoncés par les Forces armées de la République démocratique du Congo qui les qualifient « des crimes de guerre ».
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Ces militaires malades et blessés de guerre ont été trouvés dans l’hôpital du camp Katindo à Goma. Ils ont été récupérés pour être tués.
« Cet acte est constitutif de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, des infractions imprescriptibles qui ne resteront jamais impunies », a écrit le général-major Sylvain Ekenge, porte-parole de l’armée.
L’armée rwandaise et le M23 ont également pénétré l’hôpital Heal Africa de Goma, où des militaires blessés ont également été emmenés de force, vraisemblablement pour être exécutés.
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Depuis la prise de la ville de Goma et de Bukavu, deux importantes villes dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), l’armée rwandaise et le M23 ont multiplié des crimes de guerre et contre l’humanité, en exécutant des civils et militaires blessés de guerre.
Rédaction