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    Les médias en ligne parus en Ituri et ailleurs se sont largement consacrés à la libération de quatre derniers membres de la Task Force après plus de 60 jours passés en captivité par les miliciens de CODECO.

    bunia-info24.com a écrit à ce sujet: Thomas Lubanga et 3 autres membres de la Task Force relâchés par la milice CODECO.
    Ce média qui a cité une source anonyme, a affirmé que les otages ont été “remis en liberté” par leurs ravisseurs.

    Une libération intervenue à quelques heures de l’arrivée à Bunia du premier ministre Sama Lukonde, a précisé pour sa part lavoixdelituri.net

    Il ne s’agissait pas d’une libération mais d’une évasion d’entre les mains de CODECO, à titré lecoqdelest.com
    D’après les confrères, les 4 membres de la Task Force composés de Thomas Lubanga, Floribert Djabu, Lobo Kamuhanda et Lobo Pisi se sont évadé d’entre les mains des éléments d’URDPC/CODECO ce 12 avril 2022, alors qu’ils étaient pris en otage depuis le mercredi16 février 2022 à Bambu, une localité du territoire de Djugu.
    Une version donnée par l’administrateur militaire de Djugu, le Colonel Maboso Asamba Jean-ladis.

    Thomas Lubanga et les trois autres membres de la task force libérés par les FARDC dans une opération dénommée tombeau vide, c’est l’autre version livrée par le gouverneur militaire de l’Ituri à lire chez plumeinfos.com
    D’après ce média qui cite Thomas Lubanga lui-même, “une coordination parfaite de nos Forces Armées avec les Colonels qui étaient avec nous, a conduit à défaire ce groupe qui ne réfléchi que le mal. Nous avons bénéficié des orientations véritablement professionnelles de la part du secteur opérationnel, de la garde républicaine et de la maison militaire. Tout a été mis en marche pour notre libération” a-t-il expliqué.

    Deux pasteurs parmi les 20 civils tués par les ADF près de Komanda, écrit sur un autre registre newscongo.news
    Ce média qui revient sur le massacre du 11 avril dernier près de Komanda dans le sud du territoire d’Irumu, cite un des rescapés qui révèle que les présumés rebelles ADF estimés à une soixantaine, étaient constitués aussi des femmes qui couvraient leurs visages par cagoules.

    Sur le même registre, la société civile locale plaide pour le renforcement de l’effectif militaire après le massacre de 20 civils près de Komanda, peut-on lire chez bunia-info24.com
    Ce média qui a accordé la parole à Soniau Malangayi, secrétaire de cette structure citoyenne en chefferie de Walese Vonkutu, appelle les soldats FARDC présentement dans la région, de toujours anticiper les attaques des rebelles en tenant compte des alertes de la population civile.

    La Rédaction

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