Ouvrons ce nouveau numéro du tour local de l’actualité parue dans les médias en ligne par la sécurité, 4 personnes tuées et une dizaine de maisons incendiées dans une nouvelle attaque armée à Djugu, rapporte élections-net.com
D’après ce média, des hommes armés non identifiés ont investi tôt le matin de dimanche la localité de Dheyo en secteur de Walendu Pitsi, tuant 3 civils sur le champ et le 4e grièvement blessé est allé rendre l’âme à l’hôpital de Linga.
Les otages de la Task Force seront bientôt libérés, titre pour sa part bunia-info24.com qui rapporte les propos du porte-parole de cette structure d’anciens seigneurs de guerre dépêchés en Ituri par la présidence de la République pour sensibiliser les groupes armés à cesser les hostilités.
Pitchou Iribi cité par ce média affirme en effet que les miliciens de CODECO ont donné leur accord de principe pour le relâchement de Thomas Lubanga et ses compagnons, ceci après des négociations qui ont eu lieu entre les chefs de ce groupe rebelle et l’Evêque du diocèse catholique de Bunia ainsi que le commandant du secteur opérationnel de l’armée.
kivutimes.com accorde pour sa part la parole aux femmes policières et militaires qui demandent d’être traitées au même pied d’égalité que leurs collègues hommes au sein de l’armée, en occupant des postes de prise de décisions. Une demande formulée au sortir d’une conférence sur la réforme du secteur de sécurité en Ituri, organisée par l’ONG Justice Plus.
Le commandant Marcel Tambwe de la police ne quittera pas Ariwara, c’est la réponse que le commissaire de la PNC dans le territoire d’Aru a réservé aux Forces Vives de cette entité qui avaient exigé son départ endéans 3 jours, l’accusant d’avoir insulté la population dans un audio partagé sur les réseaux sociaux.
Ce n’est pas aux civils de donner des ordres au commandement de la police, a rétorqué le Colonel Israël Kantu cité par nos confrères de aruinformation.com
laprunellerdc.info revient quant à elle sur la situation de la femme qui avait été arrêtée dans le territoire de Djugu par les Forces Armées en possession de plusieurs minutions de guerre dissimulées dans un sac et qui est déjà entre les mains de la justice militaire pour répondre de ses actes.
Une précision donnée aux confrères par le Lieutenant Jules Ngongo, porte-parole des FARDC en Ituri.
C’est tout pour cette revue de presse, merci de votre sympathique attention.
La Rédaction