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    La quiétude du groupement Bangole, dans la chefferie des Babila-babombi, est sérieusement perturbée par une vague de vols de produits champêtres. Les agriculteurs locaux sont de plus en plus victimes de maraudeurs qui n’hésitent pas à s’introduire dans leurs plantations, même la nuit, pour dérober leurs récoltes de cacao.

    Face à cette situation alarmante, la Convention pour le Respect des Droits Humains (CRDH) de la chefferie des Babila-babombi a tiré la sonnette d’alarme. L’organisation de défense des droits humains appelle les services de sécurité à prendre des mesures urgentes pour mettre fin à ces actes d’incivisme qui pénalisent durement la population.

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    Grâce Kakine, un activiste des droits humains bien connu dans la région, a confié à la Radio Communautaire de la Référence l’ampleur du problème. Selon lui, les champs sont régulièrement dévastés, laissant les paysans démunis et découragés.

    « Il y a des voleurs, qui circulent avec des torches pendant la nuit pour voler les cacao des agriculteurs », a-t-il déploré.

    La CRDH insiste sur la nécessité d’une implication accrue des forces de l’ordre pour sécuriser les zones rurales et garantir la protection des biens de la population. « Nous alertons les services de sécurité de s’impliquer pour traquer ces bandits qui volent les biens des agriculteurs », a-t-il plaidé.

    Parallèlement, cette organisation exhorte les habitants de Bangole à rester vigilants et à signaler tout comportement suspect aux autorités compétentes.

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    Ces vols à répétition représentent une menace sérieuse pour l’économie locale, largement basée sur l’agriculture. Les producteurs de cacao, déjà confrontés à de nombreux défis, voient leurs efforts anéantis par ces actes criminels. Il est donc crucial que des actions concrètes soient entreprises rapidement pour rétablir la sécurité et permettre aux populations de vaquer sereinement à leurs activités agricoles.

    Rédaction

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