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    Au cours d’une session de formation de deux jours, organisée par le programme REDD+ en collaboration avec le programme des nations unies pour le développement, PNUD, une vingtaine des journalistes venus de Bunia et de l’intérieur de la province ont été formés sur le traitement et la diffusion des informations relatives au réchauffement climatique et à la protection de l’environnement.

    À cette occasion, la presse locale a été informée sur le potentiel forestier de la RDC estimé à plus de 145 millions d’hectares, soit le deuxième massif forestier de la planète, dont une partie se trouve en Ituri.

    Les journalistes ont été invités à informer le public sur le rôle joué par les arbres dans la réduction des gaz à effet de serre et la production du CO2 essentiel à la survie de l’humanité.

    Selon un dernier rapport du FAO, chaque année, la RD Congo devra recevoir un montant de 1 milliard de dollars de la part d’autres Nations du monde, en guise de compensation pour la protection de ses forêts.

    Le Congo Kinshasa qui a adhéré au programme REDD+ regroupant tous les pays du monde qui regorgent des forêts en 2012, est en voie d’acquisition de ces fonds.

    Pour l’ex province orientale, le programme a reçu un financement de 30 millions de dollars pour 5 ans, repartis dans 3 provinces dont le Bas-Uélé, l’Ituri et la Tchopo.

    En Ituri, 3 territoires sont concernés par le programme dont Mambasa, Irumu et Djugu pour des projets visant principalement la stabilisation de la déforestation et de la dégradation des forêts.

    La mise en place d’un réseau des communicateurs environnementaux pour l’Ituri a été retenue parmi les priorités entre la presse locale et le PNUD.

     

    La Rédaction

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    1. BAKUBA NEMBETWA on

      Bonjour, et la part de l’équateur ! En RD Congo il n y a aucune de province qui regorge beaucoup de forêts comme l’équateur, le partage du fonds pour la conservation de la nature devrait être juste. Martín Nembetwa.

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