La Coopération des Femmes pour le développement du progrès social (CFDPS) a officiellement été lancée avec différents groupes ethniques pour communiquer un message de paix et de cohésion sociale, régnant ainsi les efforts entrepris par plusieurs couches sociopolitiques.
La coordinatrice de la CFDPS, Irene Napengwa informe buniaactualite.cd que cette année, l’association sans but lucratif est juridiquement reconnue par le gouvernement de la République démocratique du Congo.
« La CFDPS a été créée vers 2022, mais légalement reconnue par le gouvernement en 2024 dans le but d’autonomiser les femmes à Bunia », a-t-elle révélé.
Des gestes stimulants, d’une simple commerçante-artisane à une coordonnatrice sans discrimination pour inviter divers groupes ethniques tels que les Lundu, les Bira, les Hema, les Kakwa, et bien d’autres encore, qui ont tous partagé une danse culturelle.
Le notable Lundu Daunji Kulukpa Étienne a été stupéfié par leur bravoure à envoyer des invitations là où d’autres ASBL n’envoient quasiment jamais.
« Je félicite maman Irène Napengwa et toute l’équipe de la CFDPS, et notre porte est ouverte à aider de toute manière, car nous voulons la paix et nous suggérons à d’autres associations de se joindre à ce dernier », a-t-il déclaré.
Pas seulement eux, mais d’autres associations étaient présentes à la cérémonie avec des mots d’encouragement, dont Georgine Love Kitambo, coordinatrice de FADM.
« J’étais intéressée par le discours de paix », a-t-elle exprimé.
Enfin, certains membres de la CFDPS ont manifesté leur reconnaissance à l’égard de la coordinatrice Irene Napengwa, comme Dodo Mirala. « Je suis heureuse que le Gouvernement ait officiellement reconnu le CFDPS », a-t-elle ajouté.
Cependant, la CFDPS informe les Ituriens qu’elle peut désormais dire explicitement qu’elle accueille de nouveaux membres, sachant qu’il faut d’abord se rendre à son siège de Yambi pour se renseigner davantage. « Nous sommes égaux et ensemble, nous irons loin ».
Ces dernières années, de nombreuses initiatives de paix sont enregistrées à travers l’Ituri, d’une façon formelle et informelle.
Grâce Kasemire