Le Football Club Celtic a retrouvé du rythme ce mercredi 18 septembre 2024 face à Salongo. Une prise d’air après une défaite face à Sokimo le week-end dernier.
Troisième journée du championnat de football d’Irumu à Bunia (CEFIBIA) pour Celtic. Face à une belle et bonne équipe de Salongo, les Rouges et Blancs savaient ce qui les attendait: se relever après la recente défaite. Coup d’envoi donné, Celtic n’a pas le pied sur le ballon.
Mais elle peut faire mal à une seule action. Dès sa première occasion offensive, les coéquipiers de Boda sont réalistes. D’une action collective parfaitement menée, Celtic ouvre le score. 4′ Début du match idéal !.
Le pressing est haut, coordonné et gène parfaitement les relances adverses. Salongo laborieux mais sans récompense. Le gros volume de jeu du milieu de Celtic prive l’attaque adverse du ballon. Ils étaient prévenus, mais n’ont pas retenu la leçon.
Mawete, latéral gauche, d’une belle reprise de son pied préférentiel, trouve magistralement le cadre et c’est dedans. 2-0. Tout le stade peut célébrer ce bijou… malgré le fait qu’il met Salongo en genou.
Celtic sous le feu des projecteurs. À la mi-temps, Salongo mené 2-0, n’aura cadré qu’une seule fois. De retour du vestiaire, l’équipe ne renonce pas à l’espoir et veut partir sur des nouvelles bases. Malick est de plus en plus insaisissable sur le côté. Des débordements qui, malheureusement, n’aboutissent à rien.
Le Stade retient son souffle. Le coach s’agace sur le banc. Son équipe n’arrive pas à réduire le score. Place aux remplacements.
« À la première mi-temps, on avait le même objectif avec l’adversaire. Raison pour laquelle, on a pressé haut », le coach de Celtic est récompensé.
En quête d’une solution, des sangs neufs entrent sur le terrain pour l’équipe du quartier Bankoko. L’on se souvient d’une belle victoire au tournoi Ituri Amani comme déclic. En face, un bloc défensif pas prêt pour faire cadeau.
Celtic renoue avec la victoire. Salongo chute. Une défaite nuisible qui donne place à une montée de tension devant le vestiaire de Salongo après le coup de sifflet final.
Verite Johnson